Nom = Islan
Province = Province de Tekos
Ville de départ = Tekos
Classe de base = Sorcier
Sexe = Masculin
Age = 27 ans
Taille = 1m76
Poids = 68
Vos Armes: Une baguette de sorcier, savamment dissimulée entre mes omoplates. Noire comme l'ébène, rugueuse au touché, trop courte pour s'apparenter à un bâton de mage, mais trop longue pour être assimilée aux baguettes banales de mes congénères. Mesurant une coudée, je ne peux me permettre de cheminer avec elle sans me faire remarquer... et j'aime la discrétion.
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Vos Pouvoirs: Attaque simple basée sur l'élément Feu.
Histoire:
Je suis né à l'orée de la ville de Tekos, là où le sable vient repousser les murs de la ville, là où tous les dangers débutent. Il n'y aucune maison, bâtisse ou autre cahute qui aurait pu accueillir un bâtard comme moi. Fruit d'une union d'un soir, entre une prostituée de bas quartier et un aventurier, j'ai grandi là où les enfants ne sont que des rebus de la société. Ma mère dormait le jour, se donnait aux hommes la nuit. Je ne la voyais pas souvent et cela me convenait parfaitement. Au moins, nous avions suffisamment d'or pour manger et nous vêtir. Je ne manquais de rien. J'optais pour ce rythme et devint un vagabond de la nuit.
J'aimais rôder autour du temple de Za'Hor, sans jamais pouvoir y pénétrer. Mais je savais qu'un jour j'y entrerai, la tête haute, les domestiques n'oseraient affronter mon regard, les Maîtres n'auraient le choix que de m'enseigner les plus noirs sorts, les maléfices les plus dévastateurs, je serais le plus puissant de tous les sorciers. Les Arbres de Hofa seront à moi !
J'appris à manier ma baguette mais je refusai de perdre mon temps à l'apprentissage de guérison. Qui pourrait me résister ?
Ma mère est toujours une catin de renommée, je m'occupe de sa protection en attendant de partir sillonner le monde, à la recherche des artéfacts nécessaires à l'ascension de mon règne.
Il y a peu de temps, mère est tombée malade, les guérisseurs m'ont signifié clairement qu'elle était arrivée au crépuscule de sa vie. Pourtant j'ai entendu parler d'une potion qui pourrait la soulager et lui rendrait un peu de sa jeunesse. Je pars donc, par-delà des contrées. Il me faut ce breuvage et j'en profiterai également pour trouver des indices sur les artéfacts.